Il existe une diversité de systèmes de numérotation des logiciels, du plus simple (n+1) au plus exotique (suivant les décimales de Pi). Dans le lot, semver décrit une numérotation en trinôme M.m.p où M représente des changements non rétro-compatibles, m représente des changements rétrocompatibles et p représente des correctifs. Puisque chaque système vise à bien communiquer aux consommateurs, semver semble la solution parfaite.
Semble seulement, car en fait cet idéal de communication parfaite n’est pas atteint ; le problème est la nature d’un changement rétro-incompatible.